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 Ed The Mute Himes [ Chasseur de prime ]

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AuteurMessage
Ed Himes

Ed Himes


Nombre de messages : 9
Age : 38
Age du Perso : 32 ans
Voie du Perso : Criminel
Date d'inscription : 04/06/2008

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MessageSujet: Ed The Mute Himes [ Chasseur de prime ]   Ed The Mute Himes [ Chasseur de prime ] EmptyMer 4 Juin 2008 - 18:55

Nom : Himes
Prénom : Ed
Surnom : The Mute
Date de naissance : 25 Decembre 1976
Age : 32 ans
Lieu de naissance : Baltimore
Taille : 1m82
Poids : 86 Kilos
Cheveux : Noirs
Yeux : Gris
Situation familiale : Célibataire

Signes particulier : Une élocution difficile, comme éraillé

Formation (études & expérience professionnelle) : Dockeur à Baltimore. Routier un temps. Barman, videur, cuistot dans tout les infâmes bouges possibles de L.A. Homme à tout faire dans une société de chasseurs de primes dans cette meme ville des anges. De nouveau routier le temps de revenir sur la cote est. Sans occupation professionnelle connue dans cette bonne vieille ville d'Hendrix qu'est Seattle.

Poste : Civil ( Chômeur depuis qu'il est à Baltimore. )

Histoire : Quand on est né dans une famille blanche et pauvre de Baltimore, il y'a de fortes chances pour que votre père, vos oncles, votre grand père et meme le énième nouveau petit copain de votre frangine soient dockeurs. Une grande famille virile, les dockeurs, qui aiment les bitures les jours de paye, les femmes silencieuses, le diner sur la table au retour du boulot et la marmaille qui s'écrase et qui ne leurs attirent pas d'emmerdes. Pas vraiment le cas du petit Ed Himes, terreur des chats des voisines, des commerçants du quartier et de ses camarades de classe. Ed Himes, tout juste douze ans le jour ou son paternel excédé par une vitrine brisée de trop, l'avait envoyé directement à l'hôpital d'une série de crochets bien placés. La mâchoire, quelques cotes et le bras gauche fracturés. Faut dire que le papa était un ancien poids lourd amateur qui avait eu son quart d'heure de gloire sur les rings dans les années 60. Un sacré cogneur en somme, surtout face à un marmot de 45 kilos. Les flics avaient conclus à une " chute " malencontreuse du gamin, car si on devait commencer a ouvrir des enquêtes pour tout les pères qui collaient des baignes a leurs saloperies de mômes, le FBI lui meme n'y suffirait pas, rien que pour les quartiers chauds des docks de Baltimore. Par contre, difficile de conclure a une autre " chute " accidentelle le jour ou on enleva ses plâtres au petit Ed Himes : il aurait fallut alors trouver une explication logique au fait que, moins de deux heures après, Himes père gisait assommé, le crane ouvert et tout les doigts brisés, guère loin de son fils. Qui était pour sa part assis tranquillement devant la télé, sirotant un lait fraise, un marteau dans l'autre main. Çà aurait fait une bien étrange " chute ", meme pour un flic de Baltimore, pourtant pas à une contradiction près. Ed fut alors envoyé en maison de correction. Pour un môme qui n'avait fréquenté aucun noir dans son enfance, était doté d'un visage androgyne et poupin, portait une tignasse aussi longue que celle de ses sœurs et se retrouvait dans un dortoir avec comme voisin de lit un délinquant sexuel de quatre ans son ainé, le changement fut radical. Et radical est encore faible comme mot. S'ensuivit deux années de sévices et de vexations. Sans que jamais l'administration pénitentiaire ne s'en émeut, malgré les fréquents voyages à l'infirmerie du garçonnet. Jusqu'au jour ou le délinquant sexuel et voisin de chambre d'Ed fut retrouvé saigné comme un cochon dans les douches, son engin reproducteur dans la bouche. On interrogea alors Ed et ses camarades de dortoir, le premier restant totalement muet, les autres terrorisés. Sans aucunes preuves ni témoins, on classa le dossier. Comme si quelqu'un en avait a foutre quelque chose de ce violeur, noir de surcroit. Ed, que désormais on appelait The Mute en référence à son mutisme buté et effrayant, passa ses deux dernières années en roi de la cage aux fauves. Ses silences autant que les soupçons qui pesaient sur lui dans l'affaire du " coupe-roubignolles " l'avaient propulsés tout en haut de la hiérarchie de la maison : petit prince des morveux. Une place douillette et calme. A ses seize ans, il y apprit conjointement sa mise en liberté et la mort de son paternel, ce qui le laissa totalement froid. Pour l'un comme pour l'autre. la taule lui plaisait bien depuis qu'il en était l'un des patrons, et foutre le nez dehors ma foi, pourquoi pas ? Quand à son père, qu'il soit raide ou vivant, c'était du pareil au meme pour Ed The Mute. Il retourna tout de meme à Baltimore, histoire de voir la vieille et de manger un repas décent. Ceux qui n'ont pas fait un tour en maison de correction ne savent pas ce que bouffe infecte veut vraiment dire. On enterra le vieux. Ed eu vaguement envi de pisser sur sa tombe. Mais bon, sa mère avait déjà l'air tellement triste, pas la peine d'en rajouter. Il prit une piaule sur le port. Se chercha un boulot, avec pour tout CV ses muscles ( il avait eu le temps de pousser de la fonte pendant son séjour chez les délinquants juvéniles. ) Alors comme tout les blancs pauvres et sans éducation autre que celle des coups de lattes dans la tronche, il tenta sa chance sur les docks. C'était ca ou frayer avec des noirs qui avaient envahis le quartier de ses vieux, portaient des costumes flashs, se prenaient pour des macs, et vivaient de petites combines foireuses. The Mute n'aimait pas trop les noirs depuis la taule, allez savoir pourquoi. Il fut engager comme dockeur, assigné au dechargement. C'était sympa. Personne pour faire chier.Il pouvait travailler deux trois jours de rangs sans qu'on lui adresse une seule fois la parole. Un boulot peinard. Ed The Mute aimait bien mettre les caisses des containers sur les bons camions, comme dans un jeu de construction qu'il n'avait jamais eu plus petit. Prendre une caisse, la poser ailleurs, et recommencer. Ça durait depuis un an ou deux. Et un jour ou vider les cargos lui parut un peu trop chiant, il monta dans un camion, un de ceux qu'il chargeait régulièrement. Sa paye de la journée en poche, direction la côte ouest. Ed The Mute sillonna le pays de long en large, de large en long. Le métier de routier lui plaisait, on lui parlait encore moins que sur les docks. Il y'avait bien un ou deux vieux de le vieille qui le saluait d'un hochement de tête dans les restos routiers, ou s'asseyait a sa table, mais personne pour l'entretenir de la théorie de la relativité ou des déboires de la politique. Puis un jour, lassé d'avoir des courbatures dans le bas du dos, il posa son sac à L.A. Un des vieux qui roulait dans un 55 tonnes bleu électrique et chrome, et qui avait prit en affection le grand gaillard muet, lui trouva une place de videur dans un bouge mal famé, surtout fréquenté par les bikers, les routiers et les putes à dix dollars la passe. Allez savoir pourquoi le vieux au 55 tonnes avait fait ça. Peut etre que son fils était mort en Corée ou au Vietnam et que Ed le lui rappelait. Ou alors il avait aimé le silence d'Ed quand il partageaient un p'tit dej' après une longue nuit de route. Ou alors il était à voiles et à vapeurs. Mais ça Ed en doutait. Il l'aurait senti, depuis ces fameuses nuits de trouilles et d'abus à la maison de correction, il avait un sixième sens pour ça. Et c'était pas peu dire que Ed n'aimait guère les fiottes. Toujours est il que ce boulot de videur, c'était du pain béni pour The Mute : suffisait de la fermer et de faire peur. Parfois casser une dent ou deux. Pour ça, y'avait pas plus fort. Et y'avait des compensassions : les putes qui cherchaient a etre défendues d'un client un peu trop entreprenant, à qui il fallait remettre les idées en place. Elles étaient toujours reconnaissantes avec lui. Les chicanos qui pensaient que l'As de pique, c'était le nom du bar dans lequel il bossait, était un club de salsa. Il se devait de les renvoyer vite fait dans leurs barrios, ces marioles tatoués. Ed n'aimait pas beaucoup les latinos. Plus que les noirs, mais un peu moins que les ritals et les irlandais. Et Dieu seul sait qu'il n'aimait pas les macaronis et les bouffeurs de patates. En tout cas, en tant que videur, il était drôlement efficace. On lui proposa très vite du boulot dans un paquet de zincs pourris le long des échangeurs autoroutiers, et il en changeait à chaque fois qu'il avait casser un bras ou une clavicule de trop dans le précédent. C'était le genre de chose qu'il savait aisément faire, il l'avait apprit par la pratique en maison de correction. La première fois c'était lui qui avait eu le bras dans le plâtre pour avoir refuser de filer son pain a un grand, un noir de quinze ans et 115 kilos qui était la pour homicide. Les fois suivantes, il s'était tenu à l'écart des ennuis. Après l'affaire du " coupe-roubignolles ", il avait observé la technique de loin lors des bastons de dortoir. Il avait observé et appris. Lui on lui foutait une paix royale, à cette époque la. Il foutait déjà la trouille : il était Ed The Mute le coupeur de bite. Il en était ainsi depuis trois, quatre ans. Il changeait de bar pour un autre rade dégueulasse, sans préférence, sauf peut etre pour l'As de pique, le tout premier, dont il appréciait la localisation légèrement en retrait de l'autoroute. Assez près pour en entendre le bruit, assez loin pour ne pas étouffer dans la grisaille qui s'en dégage. Un matin, Alice, la barmaid de l'As de pique, s'était encore une fois tirée avec un motard de passage. Elle adorait ça, les Harleys, les Choppers, les grosses cylindrées. Le truc, c'est qu'elle pouvait pas blairer longtemps les mecs qui les conduisaient. Le temps de s'envoyer en l'air dans un motel minable et de revenir a son point de départ, c'était son maximum aux cotés d'un biker. Sauf que cette fois la, le patron de l'As avait dit à The Mute qu'il s'inquiétait. Ce con de tenancier aimait Alice depuis le jour ou elle avait franchie le seuil du bar pour répondre a une annonce de job placardée à l'entrée. Elle, elle s'en foutait comme de l'an quarante de Louis, le patron. Ed The Mute ne détestait pas Alice, pas plus que Louis, pour dire vrai, mais il avait bien compris que cette greluche était nettement moins facile que les putes de parking. Lui, les putes ca lui suffisait. Par contre, partir chercher Alice dans tout les troquets et les hôtels de passe de Californie à la demande de Louis, ça ca l'emmerdait carrément. Devant le silence de The Mute, Louis avait soupiré, et lui avait tendu un liasse de billet de dix. Pas loin de 500 dollars. " S'il te plait Mute " . Ed n'avait pas répondu, avait empoché les billets et était partit a la recherche d'Alice. Il l'avait retrouvé à 60 Miles de L.A, bâillonnée, entravée aux pieds et aux mains sur un lit de motel. Il lui avait suffit pour avoir l'information de casser deux doigts à un copain du motard. Un sombre crétin qui sirotait une bière au comptoir d'un des bars de bikers dans lequel Ed avait bossé. Le motard d'Alice était un vicieux, connu des services de police pour ses mœurs étrange. Le genre de gros malin qui aime tabasser ses copines, et toute une tripoté de sévices. Ed avait défoncé la porte de la chambre, et tentait de détacher Alice, quand le con s'était pointé. Un sac Kfc dans une main, un petit calibre 22 dans l'autre. Ed The Mute avait d'abord pensé " Quel connard de gros redneck mange de la bouffe de nègre ? " avant d'apercevoir le pétard, et de reconnaitre celui d'Alice : " Un calibre de gonzesse ". La suite, selon le rapport de police, c'était que le motard avait fait feu sur The Mute, le touchant à la gorge deux fois, avant que celui ci ne se précipite sur lui, percutant et traversant la balustrade avec lui, l'entrainant sous lui dans une chute de 8 mètres. Le motard était knock out, ses empreintes étaient sur le calibre, The Mute était dans l'ambulance, et Alice avait témoignée en sa faveur. Légitime défense, Ed n'était meme pas inculpé. Ça tombait bien, The Mute n'aimait carrément pas la justice. Il retira de cette aventure deux choses. La première, c'était une réputation de limier silencieux mais diablement efficace, et les sociétés de chasseurs de primes ayant eu vent de l'histoire se mirent à faire appel à ses services. La deuxième, c'était que les deux pruneaux, meme pour un calibre de gonzesse, lui avait salement abimés les cordes vocales, lui donnant une voix d'acier broyé, comme passée dans une râpe à fromage. S'ensuivit des années tranquilles, Ed The Mute faisait son boulot d'homme à tout faire pour diverses boites de bounty hunters, avant d'en devenir lui meme un. Parfois il reprenait sa place de videur ou de barman à l'As de pique quand Alice, définitivement incorrigible, taillait la route avec un nouveau biker, au grand dam de Louis. C'était cool comme temps, comme disait ces connards de chicanos et de négros qu'il filait de temps a autres pour le compte de recouvreur de créances ou de contrôleur judiciaire . Et puis le motard sortit de taule. Il était désormais sur quatre roues, en fauteuil roulant, la chute l'ayant rendu tétraplégique. Le fait de ne jamais remonter sur deux l'avait rendu sacrement furax. Un bikers en side-car, ça faisait gonzesse, et ca aucun biker, meme le plus con, ne l'aurait supporter. Il était en colère, au point de rameuter tout ses petits copains à L.A, histoire de faire la peau " a cet enculé de muet ". Ed ne fuyait plus l'affrontement depuis longtemps. Depuis cette fameuse nuit à la maison de correction exactement,, ou ce sale vicieux de violeur avait essayé d'abuser de lui une fois de plus sous les douches. Depuis l'instant ou il lui avait lardé le ventre de coup de scalpel piqué à l'infirmerie, avant de lui couper les parties pour lui foutre dans la bouche. Depuis ce jour la, il n'avait jamais prit la fuite. Mais rester à L.A aujourd'hui c'était attendre la mort, et The Mute était assez intelligent pour savoir ce qui l'attendait : être trainé derrière un Choppers jusqu'à ce que sa peau se décolle, pour qu'on le finisse a coups de chaines dans un coin de désert, avant de le laisser crever longuement sous le soleil de plomb californien. Il avait donc prit le premier camion qui passait sur la parking de l'As de pique, sans saluer Louis ni Alice. " Tu va ou ? " lui avait demandé le routier. Ayant pour toute réponse un vague grognement, le routier lui avait annoncé " Ok, alors t'ira comme moi, à Seattle ! "

Caractère : Silencieux, sombre, patibulaire ou inquiétant, c'est selon. D'un naturel méfiant, voir carrément paranoïaque, il est un solitaire, fuyant plutôt les rapports humains. Ses échanges avec les femmes se réduisent à fréquenter les filles de joies de temps à autres. A un penchant facile pour la violence, sans y éprouver une quelconque satisfaction. Disons qu'il casse des doigts comme un patron fait ses comptes : quand l'obligation se présente.

Autres : Un voix éraillée qui ressemble à un mauvais doublage de film d'horreur. Et encore, de série Z. Des cheveux longs, seuls vestiges de son enfance qu'il semblent conserver comme un fétiche. Une incapacité totale a se concentrer du regard sur un point fixe.

Interprète sur l'avatar Edgar Ramirez
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