Bureau de Robert Poskus

Sujet: Bureau de Robert Poskus Jeu 22 Jan 2009 - 1:17

>>>Domicile de John Morton

Robert arriva au poste avec un suspect à interroger dans une histoire de règlement de compte. Durant, le trajet il ne lui posa pas la moindre question. Il se contenta simplement de tourner les boutons de son autoradio en cherchant une station qui émettait de la country. Dès qu'il en eu trouvé une, il se mit à siffloter gaiement un air bien connu.

En arrivant dans la salle principale du commissariat, il se rendit compte qu'il avait oublié de demander au capitaine Connor où se trouvait son bureau avant de partir pour Wallace Avenue. Qu'importe, il regarda autour de lui et vit un bureau de libre. Il prit donc place et demanda à son suspect de s'assoir sans lui enlever les menottes.

" Très bien mon grand, toi qui avait envie de causer, tu vas pouvoir t'exprimer. Avant de commencer, je veux ton nom, ton prénom, ta date de naissance et ta profession. Après, on pourra passer aux choses sérieuses."

Sujet: Re: Bureau de Robert Poskus Jeu 22 Jan 2009 - 20:37

Domicile de John Mordon

La route se fit sous le son de la country etl e sifflement joyeux de l'homme.Il était visiblement expérimenté pour devenir joyeux après un tel sérieux et une vision sur de cadavres.

Le véhicule passa un grillage puis s'arrêta,les deux hommes ortirent du véhicule,et Alfred se laissa emmener,toujours menotté jusqu'a un bureau ou l'inspecteur l'asseya,menottes dans le dos.
Alfred se mit le plus confortablement possible puis le fixa calmement de ses yeux froids et inexpressifs.
L'homme commenca sans attendre,il l'avait laissé poirauter durant le trajet,mais Alfred resta calme tout du long et continua au début de cet interrogatoire.
L'inspecteur lui demandait avant tout nom,prénom,date de naissance et sa profession.

- Je me nomme Alfred Kalb,né le 12 Juillet 1976 a Berlin Moabitt.Je suis un ancien légionnaire,et de puis peu ex-mercenaire.Je n'ai actuellement aucun boulot,a part un qui était de suivre l'un des cadavre et le protéger.

Sujet: Re: Bureau de Robert Poskus Ven 23 Jan 2009 - 14:43

Robert nota sur un morceau de papier les informations fournies par son suspect. Celui-ci semblait prêt à coopérer, ce qui était assez encourageant pour la suite de l'enquête et également surprenant étant donnée que la loi du silence était de mise dans le milieu. Il réfléchit un instant, puis décrocha son téléphone. Il appela un agent et lui demanda :

" - Oui allo, inspecteur Poskus .... j'aurai besoin de savoir si un certain Alfred Kalb, né à Berlin en 1976 possède un casier judiciaire ... et voyez aussi s'il possède un permis de port d'armes ... ok merci"

Il raccrocha le combina et s'adressa à nouveau à son interlocuteur de façon très sérieuse

" Tu sais si t'as pas de boulot, je pourrais aller parler de toi au proprio du resto qui est au coin de la rue. Apparemment, il cherche quelqu'un pour récurer les chiottes. "

Sujet: Re: Bureau de Robert Poskus Ven 23 Jan 2009 - 21:55

Alfred écoutait la conversation téléphonique courte de l'homme,il était consciencieux et voulait tout vérifier.Il avait noté les informations sur un bloc-notes.
Il voulait savoir si Alfred mentait ou non,si il était bien berlinois d'origine et si il était autorisé a porter des armes.
Alfred était calme et se disait que l'homme était professionnel mais il aurait suffit de le fouiller pour trouver son porte-feuilles.

Dedans,il y avait encore sa vieille carte d'identité allemande,ainsi que celle de la Légion,portant "Peter Blom" comme nom,et aussi une autre carte d'identité,française cette fois-ci,portant son véritable nom.
Il y avait également un permis de port d'armes passé pendant sa période de mercenariat.

Pour ce qui était du casier,c'était une autre histoire,il en avait eu un,mais il avait été effacé a son entrée dans la Légion Etrangère.
L'homme raccrocha et dit a Alfred qu'il pouvait parler del ui pour travailler dans u nrestaurant a côté,comme "récurreur de chiottes",chose dite sérieusement,Alfred lacha un demi-sourire tout en fixant calmement l'homme.
Il y a quelques années,Alfred aurait attendu de sortir et l'aurait égorgé dans une ruelle,mais c'était il y a longtemps.A l'armée on apprenait a se maitriser.

-On remarque que vous avez de l'expérience,et que vous êtes consciencieux.Malgré tout un léger humour,surement américain.Mais,si vous cherchez a me faire perdre mon contrôle ou autre,je vous le redit,je sort de la Légion Etrangère Francaise,on nous apprend a tenir tête lors d'un interrogatoire,et même a la torture,jusqu'a un certains point bien entendu.J'ai tout mon temps,mais vous ne pouvez pas me gardez indéfiniment,surtout que je me sens nullement coupable de m'être protégé.Et ce n'est pas avec vos méthodes que vous me ferez craquer.

Alfred se pencha vers l'homme,puis se remit au fond de sa chaise,mettant les pieds sur celle-ci,il fit passer les menottes sous ses pieds et fouilla dans sa poche.Tout cela calmement et en souriant toujours a demi.
La,il sortit son porte-feuilles et l'ouvrit devant l'homme.

-Consciencieux,mais il y a encore des oublis.J'aurais pu garder l'une de mes armes au cas ou,mais je ne l'ai pas fais,heureusement pour vous.Je n'ai rien a me reprocher donc ne vosu compliquez pas la vie.
Dans ce porte-feuilles,il y a trois cartes d'identités différentes.Si vosu lisez le français et l'allemand,je vous laisse faire,sinon,je peux vous le dire simplement.

Sujet: Re: Bureau de Robert Poskus Dim 25 Jan 2009 - 17:14

" Et moi, je te préviens, n'essaie pas de jouer au plus malin. Au cas ou tu ne l'aurais pas remarqué, tu te trouves actuellement dans un commissariat de police grouillant de flics alors à la moindre manoeuvre suspecte, tu risques fort de te faire flinguer par mes collègues zélés. "

Après avoir dis cela, Robert pris les papiers des mains de Kalb et les regarda attentivement.

"C'est con... mais je parle pas un mot de français, ni d'allemand d'ailleurs. En attendant, je garde ces papiers avec moi.

Après avoir dis cela, Poskus se leva et fouilla attentivement Kalb.

"En attendant, t'as tout gagné. Puisque t'as voulu jouer au con, tu vas avoir droit à un interrogatoire en bonne et due forme."

Puis, il lui fit signe de se lever et l'accompagna vers les cellules de détention provisoire.

Coin des suspects, cellule A

Sujet: Re: Bureau de Robert Poskus Mar 27 Jan 2009 - 15:42

Alfred écouta l'homme lui répondre en l'insultant un peu,et celui-ci le fouilla attentivement,il n'y avait plus rien sur Alfred,des douilles,sept,celles de son arme,dont la Police avait besoin,il les avait oubliés celle-la!Mais elles prouveraient qu'ils avaient tirés sur les pneus et sur les hommes armés.

L'homme fit signe a Alfred de se lever et il l'accompagna jusqu'a une cellule d'interrogatoire vu que cet homme en avait décidé ainsi.

Coin des suspects, cellule A