Les planques, tous les criminels en ont au moins une pour une raison ou pour une autre certains y entreposent des choses, d'autres y vont pour se reposer en paix... Certains en ont même plusieurs.
Planque d'arme, Eagle.
Eagle entra dans le petit appartement miteux qu'il avait prit à un propriétaire au courant de son statut de criminel même si le gars n'en savait pas bien plus. Il y entreposa des armes de tout type et il y rangea son Benelli. Cette planque comme toute planque qui se respecte était aux yeux de la loi un territoire inexistant, un bout de bitume un truc dans le genre... Pas vraiment d'adresse ou de chose semblable. L'assassin regarda autour de lui, tout était bien rangeait, tranquillement entreposé, tout était bon... Il alla s'asseoir dans un vieux fauteuil et soigna sa blessure superficielle à la jambe, il n'y avait rien de bien grave et ça s'était déjà arrêter de saigner. Il posa alors la main sur une des armes entreposait, l'attrapant par le canon et fronça soudain les sourcils en la retirant vivement... Il venait de remarquer que le métal était étrangement froid, puis que la pièce était bien plus froide que d'habitude, pourtant la ventilation en hivers était chauffée. Il s'humidifia alors l'index et le leva en fronçant les sourcils... Rien, pas un courant d'air. Furieux, Eagle se jeta vers la bouche de ventilation et dévissa le tout au couteau avant de la retirer, il remarqua alors une petite caméra installée entre les hélices. Poussant un juron intérieurement il explosa l'objet espion et attrapa deux Beretta agrémentés de silencieux, puis attrapa quelques chargeurs et les plaça dans ses poches, puis il attrapa une hache d'arme. Il bondit alors et attrapa une barre fixer en hauteur et comme un équilibriste se mit dessus, jambes repliaient autour pour lui permettre de ne pas tombé… Arriva alors ce qu’il attendait : des hommes de main d’un gars de la mafia… Eux et leur putain de lien familiaux ! Ca devait être un membre de la famille du parrain qui avait aussi voulut prendre la place mais à présent que l’autre était mort il ne pouvait plus… Alexandre s’était juste venger sans penser au dicton ‘la violence engendre la violence’. Mais eux n’avait pas suivit la règle du : ‘on s’attaque au commanditaire pas à l’assassin’. Il n’eût donc aucun remord de ses actes et plaignit juste les gars qui défoncèrent sa porte pour essayer de le trouver. Ils se jetèrent alors vers le balcon croyant le trouver en train de descendre vers la rue, sans même prendre de couverture… De simples hommes de main dépourvus de cervelle sans doute. Eagle se laissa basculait tête vers le sol et tira une balle dans la tête de chacun des deux hommes les plus proches de la fenêtre avant de ne retomber au sol sous la faiblesse d’une ses jambes. La chute lui fit échappait l’un des Beretta mais il ne perdit pas confiance en lui et utilisa l’autre pour tirer dans la jambe du troisième homme entré puis dans sa gorge toujours sans faire de bruit trop facile à repérer. Il se redressa alors et leva son arme vers deux autres hommes qui rentrait, on le désarma d’un coup de pied, puis il dévia le tir du second homme avant de recevoir un coup dans l’estomac. Eagle prit alors la hache à sa ceinture et trancha la main de l’homme qui le remettait en joue avant d’envoyait un coup de pied à l’autre qui le para avant de le mettre au sol. A terre Alexandre le se laissa pas immobiliser et envoya un coup de lame dans l’épaule de son assaillant alors que l’autre tomber à genou sous l’effet de la douleur, tout se passait en rapidité et dans la confusion. Il lança sa hache et acheva l’homme à genou alors que celui qui était blessé à l’épaule prenait l’arme de son équipier histoire de loger une balle dans le crâne d’Alexandre. Se dernier se redressa alors en vitesse et sentit une balle perforé la jambe juste au dessus de la première blessure alors que l’autre lui effleurait le flanc gauche. Alexandre fronça alors les sourcils et serra les dent pour ne pas hurler puis écrasa le poigné de l’homme à l’aide de sa jambe blessé avant de récupérer l’arme et de lui coller une balle de neuf millimètre parabellum dans la tempe. Il respira alors à grand coup et ferma la porte de sa piaule… Quelques jours plus tard l’appartement était vide et on retrouvait le propriétaire avec une balle dans la tête.