Bureau d'Eliott Lafleur

Le bureau d'Eliott est toujours impeccable, rien ne dépasse. Leszseuls articles personnels que vous pouvez trouver dessus sont une vieille photo de famille , du temps où leurs parents étaient encore ensembles, et un mug gravé "New-Orléans". Par contre, il vaux mieux éviter les tiroirs; dieu seul sait quelle saleté Vaudou il a bien pu y glisser.

[-->bureau de Flanigan]

Sitôt qu'il fut arrivé à l'endroit indiqué, il émit un soupir, un des rares moment où ses émotion le trahissaient: un intense soulagement.

"" - Du fond du coeur, merci "" L'acha t'il après s'être appuyé sur le bureau avec les avants bras. Il prit un instant pour reprendre ses esprits.

"" - Bon, je crois que ça va aller, par contre , si vous pouvez me trouver une plaque , un trousseau et un pistolet, je vous en serais très... reconnaissant. Monsieur.. Pardon, nous n'avons pas été présentés. Eliott Lafleur. ""

"" - Au fait, c'est quoi cette histoire de Templiers Blancs? ""

L'officier du SWAt lui répondit avec un sourire :
"Enchanté, Melvin Daniels du SWAT. Mais vous l'avez devinez."

Il jetta un oeil à son collègue qui revenait avec l'arme de Flanigan :
"Pour la logistique, demandez à l'accueil, quant à l'arme, il doivent encore en avoirà l'armurerie, sinon prenez en une au stand de tir."

Le collègue qui tenait l'arme de Flanigan s'approcha d'eux, l'arme était sécurisée et les balles avaient été enelevées du barillet.

"Quant à cette histoire de templiers blancs...que vous dire ? Il s'agit d'un groupe de fanatiques religieux qui pronent des choses bizarres sur la vie, la mort et les extraterrestres. Un certain nombre d'enquêtes ont été lancées à l'eur sujet sans véritablement aboutir. Le capitaine Flanigan a beau être complètement...perturbé...il a raison de voir les surveiller, on ne sait jamais ce qu'il peut arriver avec eux. Souvenez-vous de ces fous à Tokyo qui organisaient des attentats. Si vous les connaissez mal, vous pourriez commencez par vous adresser à l'un d'eux . Les templiers blancs tractent souvent dans la rue."

Eliott remercia encore une fois l'agent du SWAT, se retenant de lui faire remarquer que si certains courants religieux déviants devaient être combattus, il n'avait pas à juger ce que d'autres pensait sur la vie ou la mort. L'officier aurait été surpris s'il avait eu connaissance de ce que croyait Eliott lui même.

Il se surprit à se réjouir de la future rencontre avec des membres de cette secte. Pour lui, c'était un peu un hobby: scientologues, témoins de Jehovas, Hare Krishna... et même certains mouvements plus bizarres comme les adorateurs de la sainte pastèque ou même les raëliens, il adorait en apprendre plus sur eux.

Bien entendu il était convaincu que le Vaudou était la seule religion qui soit dans le vrai, et respectait tous les grands courants religieux, mais les croyances des sectes, c'était son dada. Il avait hâte de trouver ces fameux Templiers blancs.

Il prit congé de ses sauveurs et s'équipa pour réaliser une petite sortie. L'arme qu'il s'était procuré cachée dans son holster, sa plaque toute neuve dissimulée dans sa poche intérieure droite. Avant tout, les templiers blancs, il s'occuperait plus tard des victimes.

Il sortit du bureau en quête d'une rue piétonne à forte fréquentation.


[-->les rues]

[bureau du capitaine flanigan]

Eliott se laissa chuter sur son bureau et s'authorisa un soupir. Il sortit son couteau du foureau fixé a sa jambe , et s'amusa a le faire tournoyer distraitement sur son bureau. Eliott ne comprenait pas grand chose a ce que pouvait bien faire cette foutue secte.Flanigan avait parlé d'agression sur personnes agées... Pourquoi donc? Les mouvements sectaires aggresaient parfois des catégories d'individus, mais plutôt selon leur confession ou leur couleur de peau, voire leur statut dans la société: c'était plus facile de les désigner comme démoniaques aux fidèles, de les stigmatiser. Alors que presque tout le monde devenait vieux... Là on nous rejouait les enfants du maïs ou l'âge de cristal. Nimporte quoi!

Peut être y avait-il une autre raison, il devait fouiller ça.

Il relu le dossier, pour bien s'imprégner de toutes les données de l'affaire. Et enchaîna sur la lecture du tract. Puis il vérifia le casier et la situation de Rebecca pour voir si elle était bien ce qu'elle disait. Il entendait bien trouver quelques idées avant d'aller parler aux victimes.

"" -Bien j'arrive tout de suite.""

Celà semblait râté pour la victime, mais peut-être l'OPA bossait sur quelque chose de similaire, des flics chez les templiers blancs peut-être, qui agiraient comme taupes pour le compte de la secte... Il récupéra ses affaires en vitesse avant de se diriger vers lesdits bureaux. Il espérait quand même pouvoir aller a la réunion ce soir là.

[-->bureau de l'OPA]

[-> sous le pont de la r 405]

Eliott décida de faire un saut à son bureau avant d'aider en salle d'interrogatoire. On lui avait assigné l'inspecteur Mac Coy, et ça n'allait pas être de la tarte. Il en profita pour fumer discrêtement une cigarette sur le parking avant d'y aller. Les conseils et menaces de Smith n'y pouvaient rien, il était totalement accros, et ce n'était pas faute d'avoir éssayé d'arrêter, de quitter cet esclavage. Il gagna ensuite son bureau à grands pas

"" - Je devrais m'acheter un blackberry moi aussi... "" Marmonna t'il en vérifiant ses messages électroniques


Il se dirigea ensuite vers la salle d'interrogatoire...

-> salle d'interrogatoire numéro 3(après une éventuelle réponse du MJ si l'e-mail est arrivé bien sûr)

Eliott constata qu'il avait bien reçu un e-mail de Rebecca Jenkins. Il contenait un fichier pdf assez volumineux. C'était le mémoire promis.

Il y avait un message :
"A ce soir,
Rebecca"

[->salle d'interrogatoire numéro 3]

Eliott déboula au nivea de son bureau d'un pas vif, excité. Il retrouva l'email de rebecca et en lança l'impression sur une des imprimantes du réseau, et consulter l'adresse du siège de Patte Blanche.

Il profita du temps d'execution pour se remettre en tenue civile. Il placa entre autre le couteau sous le pantalon, à l'envers pour pouvoir le retirer aisément en cas de besoin. En réalisant le check-up de son équipement, il réalisa que l'agent Smith avait toujours son carnet... Tant pis , il ferait quelques emplettes en passant.

L'enrayement du pistolet de Mac Coy l'avait décidé à investir dans un pistolet de secours, même s'il se savait meilleur au couteau: érangement les supérieurs voyaient d'un mauvais oeuil les interpellations à l'arme blanche. ""Celà donnerait une image barbarre de la police, à n'utiliser qu'en cas de force majeure, sans alternatves possibles"", disaient-ils. A la vue du desert eagle du capitaine connor, il n'aurait pas placé la barbarie du côté des lames...

Une fois le dossier récupéré,et l'adresse retenue, il fila vers le parking.Il aurait probablement le temps de feuilleter le dossier dans une des salles d'attentes qu'il s'attendait à fréquenter sous peu.

[->Charlie's weapons]

[plage de seattle]

Eliott s’était lavé, changé, apprêté dans les vestiaires du SPD center. Il se sentait totalement requinqué, d’attaque pour une bonne journée de travail. Il sentait que tout cela allait vite changer. Première tâche à exécuter : se renseigner sur le membre de patte blanche qui avait été blessé hier. Il consulta l’intranet, pour voir si il pouvait dégotter des informations, mais ne passa pas la barrière que constituait les dossiers de l’IGS ; tout en rédigeant un rapport succinct à propos des templiers, il appuya sur la touche messagerie de son téléphone de bureau. L’hôpital était censé l’appeler à propos de l’agent de sécurité…

L'OPA étant encore en pleine investigation, Eliott ne put donc pas aller bien loin dans sa recherche d'infos sur Patte Blanche et ce qui s'était passé avec les inspecteur Kowalsky et McCoy.
Par contre, le voyant du répondeur clignotait et dès qu'Eliott eu appuyé dessus la machine se mit en branle, toussota et après l'accueil, un message commença.

"- Inspecteur Lafleur ? Ici Nicolas Payton, vous m'avez demandé de vous informer si l'était de Monsieur Paul Karnek évoluait. Je vous appelle car il est sorti des soins intensifs il y a une demi heure, ces jours ne sont plus en danger, pour l'instant en tous cas."

Le message était clair et court, datant de 00:12 am, le jour même, Eliott pouvait reconnaître la voix du réceptionniste à qui il avait parlé la veille.

La nouvelle rassura Eliott : au moins le policier, ce Mac Coy, commençait à avoir quelques chances de ne pas être inculpé d'homicide volontaire. Ce qui le rassurait aussi, c’est qu’il n’aurait pas à rendre visite aux « patte blanche » venant d’apprendre la mort d’un des leurs, tué par un collègue. C’était toujours quelques chances de plus de ne pas se faire flinguer sans sommations en rentrant dans leur QG. Il décida donc de leur rendre visite tant que la bonne nouvelle était fraîche dans la tête des skinheads.

En remettant la veste qu’il avait posée sur le dossier de sa chaise il surprit les bribes d’une conversation : les agents Mc Coy et Kowalski étaient suspendus, comprit-il à demi-mot. Il se dirigea vers le parking, où il avait garé sa voiture, et prit place au volant. Il fit une petite prière à Ougan pour qu’il lui insuffle suffisamment de force en cas de combat, et démarra en direction du QG.

Il s'alluma une cigarette tout en conduisant, et, tout en profitant de la fraîcheur du vent qui lui fouettait le visage à travers la vitre ouverte, se récapitula à voix haute le tenants et aboutissants de l'affaire.

"" - Deux flics veulent titiller un prétendu gang de néo-nazis tueurs de flics qui bricoleraient je ne sais quoi d'illégal. Ils y vont trop fort et cela dégénère, ça part en combat à l'arme à feu, un blessé grave du côté des skins.

Toi, tu débarques, premier jour de boulot, réquisitionné par l'IGS. Tu arrête tout ce beau monde. Les bandes vidéo sont accablantes, une rescapée des camps fait les louanges de tes néo-nazis... Qui en plus se révèlent d'une courtoisie extrême lorsque tu discutes avec eux.

Les deux flics sont suspendus, et on t'envoie discuter avec le chef de meute dans la cage aux fauves.

Question: Pourquoi? Pour essayer de calmer le jeu, de montrer que la police sera impartiale? Pour qu'ils se défoulent un peu et soient calmés une fois que les hauts placés dans la hiérarchie prendront le relais ?
""

Il laissa ces dernières interrogations sans réponses et tira sur sa cigarette. Une chose était sûre: ils allaient sûrement le mettre en pièces; par des mots, par des coups, et plus probablement aux yeux de l'agent Lafleur, les deux à la fois.
.

L’inspecteur Lafleur rédigea en vitesse un rapport sur les pattes blanches, incluant distinctement l’état d’esprit de leur CEO, l’état de la victime du tir et les impressions données par l’entreprise en général, à savoir sérieux et professionnalisme.
Il comptait remettre son rapport en personne au capitaine Connor en personne, d’autres données ne pouvant être communiquées dans un rapport écrit.
Il se dirigea donc vers le bureau du capitaine Connor, le feuillet du rapport encore chaud d’être passé dans l’imprimante.

[->Couloir devant les bureaux des Capitaines Connor et Flanigan]