Appartement de Gaz Wilson

L'appart de Gaz Wilson est à 10 min à pieds du central. Aménagé dans un viel entrepôt inusité. ça a l'avantage d'être plutot grand, mais c'est en plutot mauvaise état, et Gaz n'est pa sun model de propreté. Une collection impressionate de couteau orne le mur nord de l'appart.

L'entrée

Appartement de Gaz Wilson Middle-middle-door

Appartement de Gaz Wilson Middle-middle-door

la cuisine:

Appartement de Gaz Wilson Kitchen_dirty

Le salon:

Appartement de Gaz Wilson Living_room_dirty

La chambre:

Appartement de Gaz Wilson Bedroom-rt

La salle de bain:

Appartement de Gaz Wilson Dirty-bathroom

La moto :

Je rentrais dans mon appart, pas besoin de clé, la porte était défoncé, comme d'habitude... A peine rentré, je balançais mes fringues à terre, et une fois à poil, après avoir admirer ma musculature dans mon psyché, seule chose ne bon état ici, je m'avachis sur le lit pour un court sommeil reparateur.

Un quart d'heure c'était écoulé. La sonnerie de mon portable résonna. Je l'écrasais d'un
coup de poing rageur.

*raaa, c'est ptet important...*

la voix off si sympathique:

"vous avez un nouveau message, aujourd'hui le 17/05/2005 à 6h47."

Allo, Wilson ? ici le docteur Kill. On a enfin découvert celui qui
est derrière tout cela. Foncez au 365e de la 13e avenue et chopez le dénommé Eric Jonhson. Ramenez-le en bon état surtout et évitez qu'il ne
détruise l'antidote. !!"

* besoin de moi connor... *

Je m'habillais rapidement et cette fois-ci pris soins de prendre un fusil à pompe de ma reserve personnel en plus de mon arme de sevice.
" ça va chier "

Je descendais les marches à 4 pattes et enfourché la moto avant de partir en trombe. Telephone en main.

Je garais ma moto dans le bas du hangar. Comme d'habitude. je montais les marche craquante pour arrivé à mon appartement. Rien de tel qu'une bonne douche pour vous remettre en forme. Je me désahbillais puis, prit le chemin de la salle de bain. Je remarquais que l'unique carreau avait été brisé par une pierre.

"ppff, heureusement qu'on est en été..."

Je pris pas garde au bout de verre et allumé la douche. la tuyauterie se mit en branle, laissant couler un jet d'eau froid. Il fallait que je répare le chauffe eau. Je restais une bonne demi-heure sous se jet d'eau glacé.

J'entrais dans l'immeuble et souris en me disant que ça ressemblait exactement à Wilson. La porte de son appart' était à moitié défoncée mais je décidais tout de même de frapper.

je coupais l'eau de la douche, quand on frappa à la porte.

"J'arrive"

je pris le soins d'aller chercher une serviette dans ma chambre et de la noué autour de la taille, avant d'aller ouvrir. les gouttes d'eau encore ruisselante sur mon corps musclé

"oui, c'est pour qu... !!! Connor !"

j'étais quelques peu surpris de la voir ici. Elle allait encore m'emmerder avec son amnésie. C'était bien ma veine...

"comment vous avez eu mon adresse... Bon entrée, je vous serre un verre ?"

J'entrai en soupirant, j'en avais marre de tout ça. *Pourquoi faut-il que la seule persone qui puisse m'aider ça soit lui...*

"- Elle est dans votre dossier je vous signale... Et si vous aviez quelque chose de fort ça m'arrangerai..."

Je le regardais, il était à moitié nu et je remarquai une cicatrice longue d'une bonne quizaine de centimètres au niveau de son abdomen. Je souris et regardais ailleurs. Son appartement était un vrai dépotoir mais ça ne m'étonnai qu'à moitié. Le mien était rangé seulement à cause d'Oscar.

"- Est-ce qu'on a couché ensemble ? dis-je sarcastique Sinon comment expliquez-vous que je me souvienne de tout ce que vous m'avez dit et de tout ce que vous avez fait mais rien du reste ??"

je souriais

"Si nous avions couché ensemble, vous ne vous souviendriez plus que de ça, mais on peut arranger ça si vous le souhaitez. "

je lui montrais le canapé pour qu'elle s'assoit. Après qu'elle se fut installé, en evitant les ressort, dans le canapé miteux, je lui servais un bon verre de whisky d'une marque plus que douteuse, dont le degrè dépassé sans doute celui indiqué sur l'étiquette.

"buvez ça"

"Bon je vais me chercher un fute, les jupettes, c'est pas mon truc."

je m'absentais quelques secondes et revins vêtu d'un simple jean usagé.

"je croyais que vous aviez décidé de me laisser tranquille ? je suppose que c'est pas une visite de courtoisie. Vous voulez quoi ?"

"- Oui certes... désolée de vous déranger dans votre intimité Rolling Eyes

mais j'ai le regret de vous informer que vous êtes le seul à pouvoir m'aider. Puis je rajoutais en le dévisageant, je veux bien croire que vous n'en ayez rien à foutre et que ça vous importe peu mais je vous le demande comme un service... et après un long silence, pour quelqu'un que vous aimez bien."

C'était le maximum que je pouvais faire, après tout si je voulais qu'il m'aide, il fallait bien montrer ma bonne foi...

"ok,ok... ça me va droit au coeur", dis-je ironiquement.

"alors, qu'est-ce que je peur faire pour vous ?"

Je ne voyais pas trop comment je pourrais l'aider, mais puisqu'elle me le demandait comme un service, je ferais de mon mieux. J'allais me cherchais une bière dans mon frigo, avant d'entendre ses désirs

pssch

"alors...?"

Toujours des barrières, je me demandais s'il les avait laissé tomber un jour ou s'il était tellement renfermé qu'il ne savait plus comment le faire. Je décidais ne pas m'aventurer de ce côté, il était ce qu'il était...

"- J'ai croisé Notingam de Lurloon dans la salle d'entraînement, c'est de lui que vous parliez n'est-ce pas ?"

Je ne savais plus vraiment ce que je voulais savoir, était-ce si important après tout ? Wilson avait de plus en plus souvent raison, il vallait peut-être mieux aller de l'avant.

"- Est-ce que j'ai fait quelque chose d'autre de compromettant ?"

Je regardais mon verre en le faisant tournoyer et en le vidant par petites gorgées, son fond finit par apparaître.

je remplissais de nouveau son verre. A ce rythme la, elle finirai rapidement la bouteille.

" je crois qu'à par avoir jouer à la bourreaute des coeur, vous n'avez pas fait grand chose de mal. De plus votre étét fébrile saura excuser bien des choses, je suppose. Mais si ça peut vous rassurez, il ne s'est rien passé entre nous."

*Génial !* J'avais failli me faire tout le Central. Mon amnésie était vraiment bien tombée apparemement.

"- Il ne s'est rien passé entre nous."

Tant mieux... bien que je me souvienne qu'il avait été plus tendre que ça avec moi. Je n'allais pas en parler, à quoi bon, il était Wilson et j'étais déjà bien mal en point avec tout ce qui s'était passé. Je vidais mon verre d'une traite. *Tu vas finir par te saouler * Je soupirais. Il m'en fallait plus que ça...
Mon portable vibra, un message. Je le regarderais plus tard...

"- Je suppose que je n'ai plus rien à faire ici..." dis-je le regard dans le vague, dénué d'émotion.

"bien, alors si vous n'avez rien d'autre à faire... vous connaissez la sortie."

je me levais et après avoir enfilé ma veste, je sortis de mon appartment pour aller dans un bar proche.

"A la prochaine Connor."

Après avoir déposer l'anglaise, je matais un match de baseball on the TV. Pas très passionant, ça jouer plutot mal. En même temps, je n'étais pas particulièrement bon au base ball...
Je décrochais le telephone et composé le numero du bureau de Connor. J'aurais parier n'importe quoi, qu'elle y serait. Elle y passait ça vie !

Au bout de quelques minutes coincée dans le trafic, je garais mon 4x4 et descendait en direction de l'appart de Wilson. *Et Merde, on est vraiment dans la 4e dimension !*
Je montais les marches 4 à 4 et ne prenais même plus la peine de frapper à la porte, j'entrais directement.

"- Wilson ? Qu'est-ce qui se passe encore ?"

"raaa taisez vous, c'est la fin du match !"

j'avais changer de chaine et avait opter pour de la boxe.Connor semblait dépité.

"Allez, oué allez ! cogne, mais cogne abruti !!!"

le boxeur que j'encourageais s'écroula comme une loque.

"hum, pas mon jour... Bon je vous ai appelé pour l'autre gugus. Il est dans ma chambre."

je lui montrais le chemin.

"voila..."

Bon d'accord je devais reconnaître que j'avais du le blesser mais était-ce obligatoire qu'il se sâoule ? Il était avachi sur le lit et je ne savais pas quoi faire...

"- Wilson ! Qu'est ce-que je fous ici ?! Je ne peux rien faire ! En plus il dort..."

J'avais bien une idée pour le réveiller mais je n'étais pas chez moi...

"ba je sais pas, je vous ai appelé pour lui parler, mais vu qui cuve toujours, on a qu'à jouer au médecin et à l'infirmiere en attendant. Sinon faut le réveiller avec une bonne douche froide. Je suis equipé de ce coté la."

"- Vous avez de l'eau dans ce taudis ? Alors si vous avez un seau, ne vous gênez pas pour moi..."

Je m'assis sur le canapé du salon en *Merde* n'évitant pas le ressort. *J'en ai marre !* Ca suffisait pas que j'ai passé 24 heures, un poison dans le corps en foutant la merde, puis deux heures dans le coma et à ne plus pouvoir me rappeler ce que j'avais fait, je devais en plus traîner ici à essayer de réparer le coeur brisé d'une personne que je ne connaissais même pas.

* un sceau !!! elle est ouf, je vais pas mouiller mon lit. *

Je trainais psy jusqu'à ma douche puis l'appuyé contre le mur avant d'allumer la douche. L'eau glacé coulé sur son visage et ses vêtements.

"c'est pas souvent que je donne le privilège de prendre une douche chez moi !"

Invité

j'etait trempé jusqu'au os, et ma tete allait exploser

Il y avait bien entendu la voix de Wilson, mais une autre, que j'aurais reconnu d'entre cent.

Ma tete tournais comme pas possible, je voyait a peine les porte distinctement.

Apres avoir parcouru la salle de bain pour arriver dans le sallon (donc a peu pres 300km) j'apperçut connor.

Mon sang ne fit qu'un tour dans mes veines, j'en voulais a Wilson, que pouvais je dire, ou faire?

alors debout, desaoulé d'un coup, je restait tete baissée, honteu face a eux..

Et bah voila, Wilson n'avait pas hésité à le réveiller ce qui m'arrangeait vu que je n'avais pas à le faire. Je me levais et m'avançais vers eux en restant tout de même à deux mètres de distance, juste au cas où...

"- De Lurloon c'est ça ? Ecoutez vous m'avez raconté ce qui s'était passé et je suis navrée de ne pas pouvoir m'en rappeler. Je marquais une pause. Mais comment voulez-vous que je fasse quoi que soit alors que je ne vous connais pas ??"

Je m'étonnais de lui avoir cédé la première fois, ce n'était définitivement pas mon genre. Si je croyais ce qu'il m'avait dit, je lui été littéralement tombée dans les bras. Je soupirais. *Il faut que je tire ça au clair.*

Invité

je relevais la tete.

Le temps des larmes etait passé. Je la croyait en colere, mais en y regardant bien, je n'avais jamais vu quelqun d'aussi perdu, quel imbecile je fesait.

Ses yeux posait des questions, et je devais y repondre.

"Mais comment voulez-vous que je fasse quoi que soit alors que je ne vous connais pas ??"

Ces paroles sonnait dans ma tete, peut etre etai ce l'alcool, mais je n'y croyait pas.

je m'approchait doucement d'elle, le regard fixé sur le sien. Mes envieetait directe et bestiale, et ma tristesse se transformait peu a peu.

alors, a son oreille, je soufflait quelques mots

".....recommençer.."

je levais les yeux vers le plafond desastré, il me ressemblait en fait.
Mais la difference c'est qu'avec un coup de peinture, ce mur pouvait revenir aussi blanc qu'avant....

....et pourquois ne pas faire la meme chose avec moi??
je fermais les yeux, le sourire aux levres, et , toujours aussi ba, je me mit a fredonner

"..I wanna hold you high and steel your pain.."

je veut te prendre dans mes bras....et te voler tes malheurs, cela voulais tout dire pour moi.

Je continuait a fredonner doucement, calmement, comme pour la consoler, priant pour que ces paroles lui reviennent, comme elle lui etaient venues, ce matin meme.

la passions d'une heure, la beauté d'un echange de regard, et le delice de ces baisers volés, ne devait etre oubliés, et tout etait là, en ces quelques mots...

Il était psychiatre, il était profiler. Il devait savoir que c'était peine perdue. J'avais à peine réussi à recoller les morceaux de ma vie sociale, il n'allait pas tout gâcher. Je me reculais de quelques pas, un homme perdu c'est plus dangereux que n'importe quoi. J'essayais de garder mon calme, à quoi bon le brusquer.

"- Ecoutez, je n'arrive pas à me rappeler, je ne peux pas me rappeler et... je crois que c'est mieux que je ne me rappelle pas. Mieux pour tout le monde..."

Mieux pour qui ? Pour moi sûrement, pour Matthew certainement, pour un futur commun, peut-être... Mais pour lui ? Non pour lui aussi. Il devait comprendre... que je ne pouvais pas trahir quelqu'un pour qui j'avais des sentiments. *A qui te mens-tu tu l'as déjà fait !* Je ne referrais pas la même erreur. Je n'étais plus une gamine, c'était l'un ou l'autre, je devais rester ferme avec lui et lui expliquer.