[SPD] Salle de Repos

"Vous êtes ici depuis longtemps ? C'est la premiere fois que je vous vois."

"En fait je suis arrivé avant hier mais j'ai dû travailler à l'extérieur pour une enquête importante. C'est sans doute pour ça que c'est la première fois que nous nous voyons...mais mieux vaut tard que jamais."

Puis Connor me dit:
"- Ah O'Keefe, on ne s'était pas revu depuis... hier... vous avez commencé votre rapport ? ... Ah et au fait ... merci de m'avoir sauvé la vie !"$

Je lui répondis d'un air un peu géné devant les autres personnes:
"Oh, vous savez je n'ai rien fait d'extraordinaire. Vous auriez fait la même chose si vous aviez été à ma place. En tout cas, je suis content de vous revoir sur pieds!"

"Oui comme vous dites." Je lui fit un beau sourire.

*Et en plus il est modeste*

Le portable du capitaine sonna. Dans un soupire elle déccrocha...

"Allo? Capitaine? C'est Cooper; Alexandre Wandler n'est toujours pas sur place pour l'enquête numéro 5, ce serait bien si un membre du SPD pouvait venir le remplacer avant son arrivée... "

Mon portable me fit sursauter.

"- Allo? Capitaine? C'est Cooper; Alexandre Wandler n'est toujours pas sur place pour l'enquête numéro 5, ce serait bien si un membre du SPD pouvait venir le remplacer avant son arrivée...
- Ah Génial ! Il manquait plus que ça. Je vais voir ce que je peux faire."

Je sortis précipitamment de la salle de repos et me dirigeais vers mon bureau.

"Oui comme vous dites."

Je souris aussi pour répondre à son sourire et ajoutai:"Vous voulez un café ou quelque chose d'autre, je vous invite."
*pas terrible comme invitation!!*

"Oui avec plaisir."

J'intoduisis de l'argent dans la machine et me tournai vers elle:
"Je vous en prie, faites votre choix!"

Umbre se leva. *Certains diront bien que je drague, d'autres que je joue les lèches-bottes,... Remarque tant mieux !* Il se dirigea calmement vers les couloirs pour rejoindre le capitaine.

"Merci Sam. Je peux vous appelez Sam ?"

Je choisis un expresso. Le gobelet descendit et la machine fit l'expresso. Je le retirai et mis un sucre.

elle prit un expresso, quand à moi je pris un bon chocolat chaud.

-"Merci Sam. Je peux vous appelez Sam ?"

"Bien sûr Cassie, on peut même se tutoyer?"

"oui bien sûr"

"Tu as reussi à prendre tes marques au central ?"

"Et bien, je dirais oui et non. Oui parce que j'ai terminée ma première enquête et non parce que je connais peu de monde ici. Et toi ça fait combien de temps que tu es là?"

"Moi sa fait 6 mois plus ou moins. Pour le monde t'en fais je ne connais pas beaucoup de monde non plus, apparemment ils refont tout le service, donc la plupart des gens que je connaissais ne sont plus là mais je peux toujours te presenter mon équipière et quelques autres."

"Ah oui c'est une très bonne idée! Il n'y a rien de plus dérangeant que de ne connaître personne sur son lieu de travail."

"Oui quand on connaît personne on se sent comme étranger ou bien en trop."

"Oui quand on connaît personne on se sent comme étranger ou bien en trop."

"oui et moi qui ne suis pas un solitaire!"

Puis finissant d'une gorgée le gobelet chocolat:
"Malheureusement je vais devoir te laisser, j'ai un rapport à finir. Mais j'espère que l'on se reverra très bientôt. Faire ta connaissance a réellement été un plaisir, si tu me cherches je serais à mon bureau. Allez à plus tard!"
*j'espère qu'elle passera*
Avec un signe de la main je me tournai vers la sortie et me dirigeai à mon bureau.

"Malheureusement je vais devoir te laisser, j'ai un rapport à finir. Mais j'espère que l'on se reverra très bientôt. Faire ta connaissance a réellement été un plaisir, si tu me cherches je serais à mon bureau. Allez à plus tard!"

"Ok je comprend. Je vais pas tarder non plus à allez me remettre au travail. A plus tard."

*Bon si j'allai m'y remettre un peu.*

Je me levai à mon tour et repartis à mon bureau.

8h00, j'arrivai et posai les donuts sur la table puis allai aux vestiaires.

Massard et moi débarqûames dans la salle de repos et je me dirigeai de suite vers la machine à café. Après que j'eus récupéré mon gobelet, je bu une gorgée du liquide et je me sentis tout de suite mieux. Je m'assis sur le canapé sirotant mon café et observant Massard.

Ont étaient arrivés et elle prie son café moi j’avais enlevé mon blouson de moto et déposé sur une chaise. Je me suis ensuite dirigé vers la machine a café. Je faisais pas attention que j’avais le dos tourner au capitaine et j’avais oublié que le t-shirt sans manche que je portais laissé voir 2 petites partie de mon tatouage. J’espérais seulement qu’elle dirait rien je savais pas si le Capitaine voulait que ses hommes aient une tenue « correcte ». Je laissai tombé cette idée ramassé mon gobelet et me tourne vers le Capitaine qui m’observai. Sans le vouloir, je l'ai observai aussi avec un regard « français ».

Je l'observais depuis déjà un petit moment et remarquai un bout de tatouage qui dépassait de sous son tee-shirt. *Môsieur serait un rebelle ?* Je ne pus m'empêcher de sourire à cette idée mais mon sourire disparu quand il posa son regard sur moi. Je n'aimais pas être observée surtout pas de cette façon mais il semblait que personne ne le comprenait. Trop fatiguée pour le profiler je choisis la facilité...

"- Qu'y a-t-il Massard ?"

[HJ : Qu'est-ce que tu appelles un regard "français" ??]

[Hj : un regard expressif dans mon cas actuel fixé sur le capitaine mais perdu en même temps]

"- Qu'y a-t-il Massard ?"

« Rien Madame j’étais perdue dans mes pensé. »

*Mouai Al je sais pas si tu es très convaincant sur ce coup la.*

J’ai bu une gorgé du café lentement. Même si je pensais a rien il y avait une chose qui me trottait dans la tête mais je ne savais pas qu'elle était cette chose.

Je soupirais et avalai d'une traite le reste de mon café. *Et merde, c'est chiant d'être profiler !*

"- Qu'est-ce qui vous préoccupe ? Je sens que quelque chose ne tourne pas rond !"

Il semblait assez surpris par ma question.

"- Et au fait ne m'appelez pas "Madame", Connor ou Capitaine suffiront.

J’étais surprit par sa question

« Hé bien Capitaine … Vous avez sans doute raison mais je ne pourrais vous dire ce qu’il y a. Sûrement la petite perturbation d’un étranger qui arrive dans un pays inconnu et que personne lui fait de cadeau. »

Je continuai à avaler le café

[en français]
« Bon goût ce café »

» [SPD] Couloirs et salle
» Grande salle de laboratoire
» [LL] "Salle de Conférence" [Echelon2 : Reconnu]