[INFRA] Hôpital Principal

J'entendis des voix. A première vu il devait avoir cinq personnes. Ces personnes disaient que la balle avait été retirer et que mon état était stable désormais. J'essayais d'ouvrire. J'avais beaucoip de mal pour le faire. Mais après quelques tentatives infructueuses j'avais ouvert mes yeux. Tout d'abords la lumière m'éblouie puis je pu voir clairement où j'étais. J'étais dans une salle de reveille des malades qui se trouvait juste à côté de la salle d'opération.
Je tournais la tête je voyais plusieurs lit à côté du mien avec des personnes à côté du mien. Mais la différence et qu'elles n'étaient pas réveillées.

Un médecin s'approcha de moi.

-"Vous allez bien mademoiselle ?"
-"J'ai connu mieux mais je crois que ca va."
-"Bien, l'opération c'est bien passé. Nous allons vous mettre dans une chambre."
J'acquiessa de la tête. Le médecin appela un homme puis ils poussèrent le lit jusque dans une chambre.

Après un long moment qui me parurent une éternité, La civière avec Alice sortait du bloc avec quelques infirmiers. Je me lève dès que je la vois traversé la porte. Un chirurgien s'approche de moi, qui continue de fixer la civière sans aller.
Il me regarde d'un drôle d'air comme s'il m'avait déjà vu et j'étais moi-même très mal à l'aise.

Moi- Elle va bien ?
Chirurgien -Oui, oui. Bien-sûr, elle aura quelques maux à sa blessure, mais elle s'en sortira. Elle a juste besoin de repos.

Pauvre Alice, je m'en veux terriblement pour ce qu'il lui arrive.

Chirurgien - Je ne vous ai pas déjà vu ici ?
Moi - Non. Je viens juste d'arriver dans cette ville pour voir ma soeur.

Je m'impressionne moi-même en sortant ce mensonge. Ca fait bien longtemps que je n'ai pas mentis et ça fais un drole d'effet quand on recommence. En tout cas, j'espère que je ne vais m'y habituer.
Après la petite discussion avec ce chirurgien, il partit d'un coté et moi de l'autre pour rejoindre la chambre où est Alice. Je marche assez vite, cherchant dans tout le première étage sa chambre. Je jette un coup d'oeil à travers les vitres des chambres en passant. Je cherche encore jusqu'à ce que je tombe sur sa chambre. Elle était avec quelques mededins : Cinq au total.
Je reste devant sans ouvrir la porte, attendant que les medecins sortent pour ouvrir.

Les médecins branchèrent une perfusion pour que je puisse récupérer plus vite. J'en avait besoint. Bien que la balle avait été retirer, j'étais fatiguée. Je me mis en position assise, je n'aimais pas resté allongé.
Les médecins me donnèrent leur dernières insturctions comme ne pas bouger puis ils sortirent de la chambre.
Je mis ma main sur mon ventre et regardais la télévision que les médecins avaient allumé.

J'étais assis sur une des chaises du couloirs à attendre que les medecins sortent, avec une envie folle de rentrer. Mais si je le faisait pendant qu'ils étaient dedans, ils me diraient de sortir et me surveilleraient pour pas que j'entre dans la chambre. Alors j'attendis avec impatience.
Après que les medecins soient sortis de la chambre, j'attendis qu'ils s'éloignent pour m'approcher discretement.
Je tourne la poignet et traverse la porte. Je regarde Alice avec un regard qui traduisait que j'été extremement désolé pour elle.

- Tu vas mieux ?

Je regardais la télévision mais sans vraiment regarder.

- Tu vas mieux ?

Je tournait la tête reconnaissant la voix entre toute.
-"Oui ca va beaucoup mieux."
Je le regardais. Il avait ce regard qui disait "je suis désolé."
-"Tu y est pour rien Kesto. C'est moi qui ai voulu t'aider. La seule chose que je regrette est que je n'est pas pris au sérieux les cours de tirs de mon père et de mon oncle. A cause de ça j'ai oublié une régle fondammentale : ne jamais être démarqué."
Dis-je en souriant.

Je referme la porte et m'approche un peu plus du lit où est assise Alice.

-"Tu y est pour rien Kesto. C'est moi qui ai voulu t'aider. La seule chose que je regrette est que je n'est pas pris au sérieux les cours de tirs de mon père et de mon oncle. A cause de ça j'ai oublié une régle fondammentale : ne jamais être démarqué."

Le sourire qu'elle m'envoi me fais sourire, mais sans avoir un sentiment de bonheur : Elle s'était blessé et je m'en veut toujours.

- Je revis toute les choses que j'ai déjà vecu : Les émeutes de tirs, reglèments de comptes et tout ce genre de chose...

Après qu'Alice fut blessée, une idée m'est venue en tête.
Je m'approche un peu plus d'Alie et baisse la tête.

- Alice, je vais faire un petit voyage...Un voyage important...

Je releve ma tête et regarde Alice.

- Quand je reviendrais, je me serais débarrasé de Matthew...

- Alice, je vais faire un petit voyage...Un voyage important...
Je fronçais les sourcils. Je ne comprenais pas où il voulait en venir.
-"Quoi ?"
- Quand je reviendrais, je me serais débarrasé de Matthew...
*Oh non ! Il va pas faire ça !*
-"Non Kesto, ne fais pas ça. Tu vas te faire tuer. Ton cousin ne te laissera jamais la vie sauve. Je ne veux pas te perdre tu entends, jamais je pourrais m'en remettre."

-"Non Kesto, ne fais pas ça. Tu vas te faire tuer. Ton cousin ne te laissera jamais la vie sauve. Je ne veux pas te perdre tu entends, jamais je pourrais m'en remettre."

Il fallait absolument qu'elle comprenne. Je deteste mon cousin, mille fois plus que je deteste mon père. Matthew est dangereux. Soit je le tuerai, soit je l'enfermerai derrière les barreaux. Je sais très bien que ça ne sera pas facile : Il a des gardes du corps, des amis encore plus fou que lui et des connaissances dans la police. Cet homme est intouchable, mais pour ne plus avoir de problèmes...vallait mieux s'en occuper soit-même.

- Je prefère essayer. Si je le fais pas, il reviendra à la charge et nous tuera tous. Il ne refera pas deux fois la même erreur !

Je rebaisse la tête. Rien ne pourra me faire changer d'avis sur ce que j'ai decidé de faire.

- Je prefère essayer. Si je le fais pas, il reviendra à la charge et nous tuera tous. Il ne refera pas deux fois la même erreur !

Je le regardais. Il était déterminé. C'est ça qui me faisait peur. Il y avait de grandes chances pour qu'il se fasse tuer. Peut - être pas par Matthew directement mais par ses nombreux gardes du corps. Et moi je ne pouvais rien faire pour lui, pas cette fois-ci. A moins que.... Il ne fallait pas que je lui dise ce que j'allais faire sinon il allait m'empêcher de le faire

-"Très bien mais je veux que tu me promettre de revenir saint et sauf."

-"Très bien mais je veux que tu me promettre de revenir saint et sauf."

Je relève la tête et la fixe.

- Tout ce que je peux te dire, c'est que je ferai attention ,et non que je reviendrai !

J'essais de preparer ,dans ma tête, comment j'allais faire une fois arrivé sur les lieux. Je me ferai tranquille et discret. J'irai tout d'abord me chercher des amis, il doit bien y avoir d'autre personne qui veulent sa peau...
Je suis sûrement en train de faire la plus grosse bétise de ma vie, mais je m'en fiche totalement. C'est une obsession pour moi : Une fois Matthew mort ou en prison, j'aurais de nouveau l'esprit tranquille.

- Je suis désolé Alice, mais je dois le faire...

- Je suis désolé Alice, mais je dois le faire...
-"Je comprend. J'espère ça pourra te soulager l'esprit."
Je le regardais, il était sûr de lui.
-"Tu sais où il se trouve ?"

Alice-"Je comprend. J'espère ça pourra te soulager l'esprit."

Je lui souris et me tourne de temps en temps pour regarder à travers la vitre de la chambre. Je n'avais pas vraiment envie qu'un medecin rentre et qui me reconnaisse. Si on me voyait, on me dirait de rejoindre une chambre parce que je ne suis pas totalement gueris. Mais, ils ne savent pas tout ce que j'ai vecu aujourd'huis. C'était vraiment une journée étrange où il n'y avait que des risques mortels. Des risques où je pouvais y laisser ma vie et celle des autres
Tout d'abord, le virus au centre commercial où tout le monde a failli l'attraper, je me fais agressé sans pouvoir faire quelques choses...Mon cousin debarque dans ma chambre d'hopital, je sors et voilà qu'il reviens m'attaquer à MON domicile et blesser Alice. Enfin bon...Je l'aurais Matthew
Je reporte de nouveau mon attention sur Alice.

Alice-"Tu sais où il se trouve ?"

Je reflechis un moment. Ah mince, je ne sais pas... A moins qu'il n'aie toujours pas demenagé depuis tout ce temps.

- S'il vit toujours là où il est né....Il habite à New York.

Je reflechis encore...

- Oui, je pense qu'il y est toujours. Il n'a jamais aimé changé d'environnement souriai-je

- Oui, je pense qu'il y est toujours. Il n'a jamais aimé changé d'environnement"
New York. Je savais maintenant où Matthew se trouvait. Je le regardais. J'hésitais à lui dire je j'allais l'aider mais de façon indirecte vu mon état. Je préférais laisser faire un professionnel, mon oncle Jack Boeur agent de la cellule antiterroriste. Lui seul pouvait m'aider et aider Kesto. Seul il n'arrivera jamais à arrêter son cousin.
Je voulais lui dire mais si je le faisais il m'empécherais d'appeler Jack, alors je me retint.

-"Il faudrait que je previenne ma soeur que je suis ici, elle doit si'nquiéter."

-"Il faudrait que je previenne ma soeur que je suis ici, elle doit si'nquiéter."

-Oui, surement. Elle va se poser pleins de questions. Deux fois qu'on passe par l'hopital aujourd'hui

Je lui souris accompagné d'un petit rire. Ensuite, je fouille dans la poche interieur de ma veste et sors mon portable. Je regarde l'écran pour voir si j'ai un message...Et ben non ! Aucun !
Je lui tend mon portable dans la main et m'éloigne.

- Je te laisse passer ton coup de fil. Je vais rester dans le couloir en attendant.

Je lui souris une dernière fois avant de me retourner pour ouvrir la porte. Regardant sur les cotés avant de sortir : Si un medecin me voit, je suis mort.
Je m'avance de quelques pas, lentement. Je m'assois sur une des chaise du couloirs et patiente. Regardant de temps à autre à travers la vitre pour savoir si la conversation d'Alice est finit.

- "Je te laisse passer ton coup de fil. Je vais rester dans le couloir en attendant."
-"D'accords. Merci pour le téléphone."
Je composais le numéro de téléphone d'April. April décrocha, c'est la que le plus dure reste à faire. Eviter qu'elle ne vienne ici.

-"Allo."
-"April c'est moi."
-"Alice ! Mais bon sang qu'est-ce que tu fiches et où est tu ?"
Aie! c'était mal partit.
-"J'ai eu un problème."
-"Quel genre de problème ?"
-"Je me suis fait tirer dessus."
-"Quoi !"
-"C'est une longue histoire mais je vais bien."
-"Où est tu ?"
-"Ecoutes ce n'est pas la peine de venir, je vais...."
-"Où est tu ?!"
-"A l'hôpital. Mais..."
-"Ok j'arrive."
-"Non April..."
Trop tard, elle avait racrocher.
*Oh c'est pas vrai.*
Je réfléchit un moment et décida d'appeler Jack maintenant, pendant que Kesto n'était pas là.
-"Cellule antiterroriste."
-"Bonsoir je souhaiterais parler à Jack Boeur s'il vous plait."
-"Vous êtes ?"
-"Sa nièce."
-"Attendez."
Quelques secondes plus tard, Jack prit le téléphone.
-"Alice ? Ca va ?"
-"Oui ca va. J'aurais besoin d'un service."
-"Vas-y dit moi."
-"Voilà un collègue veut arrêter un homme très dangereux. Le problème est qu'il sera seul et je suis sur qu'il va se faire tuer. Alors je voudrais que..."
-"Que je lui donne un coup de main."
-"Oui c'est ca."
-"Ok, il s'appelle comment ?"
-"Matthew Harris il doit se trouver à New York. Il est très dangereux. Tu dois l'avoir dans votre base de données;"
-" Oui je l'ais. Ne t'en fait pas. Je ne viendrais pas seul."
-"Très bien. Merci beaucoup."
Je raccrochais le téléphone et souffla.

Un court moment plus tard, je lève ma tête. Alice a fini. Alors, je me lève de la chaise en regardant autour de moi, frappe à la porte de la chambre et ouvre. J'entre dans la chambre et m'avance un peu après avoir fermer la porte.
Je m'avance du lit où Alice est assise.
Bien-sûr, je ne me doute pas du tout qu'elle a appeller son oncle qui volera à mon secours arrivé à New-York. Alice a peur pour moi, mais je me connais. Matthew le payera et juste après, je demissionnerai de la SPD pour cause de déménagement. Je partirai de Seattle pour, soit Détroit, Boston, ou New-york. Mais de toute façon, je ne resterai pas ici. Je pense que je n'aime pas cette ville. Les journées sont longues ( Hrp : c'est vrai en plus ! ) et très très dangereuse contrairement à Detroit.

Je m'assois au pied du lit, tranquillement et regard Alice.

- Alors ta soeur, elle s'inquiete pas trop ?

Je ne savais rien de l'appel téléphonique bien entendu, et je ne me douter qu'elle allait venir ici, à l'hopital.

- Alors ta soeur, elle s'inquiete pas trop ?
Je lui sourit.
-"Et bien je crois si. Elle va venir ici. Je n'ai pas réussit à la convaincre de ne pas le faire."
Connaissant April, elle va rapliquer dans 10 minutes au maximum.

-"Et bien je crois si. Elle va venir ici. Je n'ai pas réussit à la convaincre de ne pas le faire."

Super, elle ne sera pas seule quand je partirai. En effet, je pars ce soir pour me venger de Matthew Harris, mon cousin. Ne croyez pas que ça ne me fais pas de peine de la laissez ici. Je vais le regretter et j'espère revenir vivant ici. Je ferai vite. Si tout s'passe bien, demain matin je serai de retour en ville et pret à reprendre mon boulot. Je pars ce soir en train ou en avion. J'ai assez d'argent pour me payer un aller simple mais pas le retour. Je verrai sur place comment rentrer ici... Mais peut-etre que j'y resterai.
Je baisse la tête pour reflechir à la façon dont je vais lui annoncer mon depart. Quand j'eu reussis à trouver quelques chose, je lui repond :

- Alice...

J'étais nul de la laisser seul, elle est blessé et moi je pars comme si de rien n'était.

- Je pars ce soir pour New-york...

- Alice...

Je levais la tête. Au fond de moi je savais ce qu'il allait dire.

- Je pars ce soir pour New-york...

Ca y est c'est le temps des adieux ou plutôt des aux revoirs, enfin je l'espèrais de tout mon coeur. Si il lui arrivait quelque chose, je me chargerais personnellement de Matthew, même si je ne suis qu'une scientifique. Il apprendra ce que peut faire une femme en colère et dont le coeur vient d'être brisé. Mais je n'en suis pas encore là. J'espèrais qu'ils allaient réussir et que cette histoire serait vite terminée.

-"Très bien. Soit prudent surtout."
Ma gorge commençait à être nouée.

-"Très bien. Soit prudent surtout."

- Je ferai du mieux que je pourrais, je te le promet !

Je penche légèrement ma tête pour qu'elle rencontre la sienne. Nos visages sont maintenant face à face et je lui depose, tendrement, un baiser sur les lèvres. Ce baiser présentait mes adieux, enfin...des au revoir si je n'y laisse pas ma vie.

- Si tout se passe bien, je serais de retour demain matin.

Je la regarde une dernière fois avant de me tourner vers la porte. Je lui offre mon portable en passant. Je pars à New York comme un vagabond, sans voitures, sans armes, sans moyens de communications et totalement coupé de mes proches. Mais après tout, ce n'est que pour une soirée et puis il faut que je revienne : demain je bosse !

Je tourne la poignet et me retourne vers Alice. Je lui souris et lui dis au revoir une dernière fois. Je sors de la piece puis ensuite de l'hopital.

- Je ferai du mieux que je pourrais, je te le promet !
Il s'avança vers moi et m'embrassa pour me dire au revoir.
- Si tout se passe bien, je serais de retour demain matin.
-"D'accord."
Kesto ouvrit la porte de la chambre et sortit. Je fermais les yeux et laissa échapper quelques larmes.
*A toi de jouer Jack.*

Je ne sais pas combien de temps j'étais restée comme ça. Mais lorsque j'ouvris les yeux c'est parce que une voie m'appela.

-"Alice ?"
C'était April.
-"Ah April. Salut."
-"Ca va ?"
-"Oui ca va mieux."
-"Qu'est-ce que s'est passé ?"
-"Je te l'ai dit. J'ai recut une balle dans le ventre. Mais ca va maintenant."
-"Mais comment tu as recut cette balle ?"
-"Ce n'est pas important."
-"Ecoutes, tu pars pour aller voir ton collègue à l'hôpital et c'est toi qui tu te retrouve dans une chambre d'hôpital. Alors j'ai le droit de savoir. D'ailleur il est où ton collègue ?"
-"Il est à New York."
-"Quoi ? Je comprend plus rien."
-"Je vais t'expliquer. Il se sentait mieux alors je l'ai raccompagné chez lui. Mais c'est là que son cousin a rapliqué. Ensuite me voilà à l'hôpital."
-"Woa."
-"Comme tu dis."
-"Donc il est partit à New York pour quoi faire ?"
-"Pour tuer son cousin."
-"Ok. Il est partit seul ?"
-"Non, Jack est avec lui."

April me regarda avec de gros yeux.
-"Quoi, je n'allais pas le laisser se faire tuer."
-"C'est sur qu'avec Jack c'est plutôt pour son cousin que j'ai peur."
Je lui souris.
-"Tu sors quand ?"
-"Demain je pense."

Voyant que Massard préférait rester seul, je m'éloignais à contre contre-coeur de lui et allais m'asseoir sur une chaise devant une chambre au hasard. A peine quelques minutes plus tard je reçu un appel du Central me demandant de revenir car ils avaient des infos à me communiquer. *Le boulot, toujours le boulot.* Je me dirigeai vers la sortie non sans jeter un coup d'oeil inquiet à Massard. Les méchants ne m'attendraient pas...

Cela faisait une bonne trentaine de minutes qu'April n'arrêtait pas de parler de tout et de n'importe quoi.Mais cela faisait bien 20 minutes que j'avais décroché totalement de la conversation mais pour ne pas lui montrer je lui lancait un "c'est pas vrai ?" ou "c'est incroyable" toutes les 5 minutes.

-"Alice tu m'écoutes ?"
-"Oh oui mais c'est juste que je commence à être fatiguée."
-"D'accord, je vais y aller alors. Je passerais demain pour voir comment tu vas."
-"Okey."

Elle me sourit et sortit de la chambre. Je soufflais un bon cout, contente de m'être débarrasée d'elle. Ce n'est pas que n' apprecie pas son inquiétude pour moi mais dès qu'elle commence à parler, on ne peut plus l'arrêter.
Je m'allongeais dans le lit mais ce geste me fit mal au ventre. Je fermais les yeux en essayant de trouver le sommeil.

Le lendemain, je suis de retour à Seattle, sans aucune rafale de plomb qui m'ai touché le corps. La soirée était plutôt rythmique, mais je n'ai pas pu arrêter mon cousin Matthew, une promesse que je n'ai pas tenu. Par contre, j'ai tenu ma promesse en disant que je serai de retour le lendemain et j'en suis moyennement fier.
Je m'avance dans les couloirs pour aller rejoindre Alice, elle doit aller mieux maintenant, du moins je l'espère. Pas besoin de passer apr l'accueil, je connais deja le chemin mais je leur previens juste que j'en aurais pour quelques minutes : parce que je dois aller au Central pour une nouvelle journée à traquer les criminels.

Je marche toujours le long des couloirs qui relient les divers chambres et salle de l'hopital. J'observe les infirmiers qui se balladent dans les couloirs et qui passe de salle en salle, sans doute pour se rassurer que les patients ne sont pas mort au court de la nuit.
J'arrive enfin devant la porte de la chambre où est Alice. Elle dort. J'actionne la poignet et pousse doucement la porte pour ne faire aucun bruit. Je penetre dans la chambre et referme la porte avant de m'approcher d'Alice. Je la regarde dormir en souriant sans faire de bruit pour pas qu'elle ne se reveille.

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