[INFRA] Hôpital Principal

Un medecin rentra dans la pièce avec deux dossiers.

Il regarda Jack :
"Vous pouvez sortir. Mais vous n'êtes pas passé loin."

Puis il regarda James :"Pour vous c'est une autre histoire. Vous pouvez sortir, mais vous devrez revenir dans une semaine pour faire des tests d'efforts. J'ai l'impression qu'il risque d'y avoir de légères séquelles."

Puis il partit.

"_ Et bien comme ça c'est réglé ! "

James se redressa difficilement sur ses jambes ; elle tremblèrent. En plus de ses difficultés respiratoires, McAllen était déshydraté du fait d'avoir vomi tripes et boyaux. Quand il arriverait il boirait au moins 1litre d'eau.

** Mais d'ailleurs on va où maintenant...**

Il regarda Jack :

"_ SPD, ou on prend un peu de repos ? Pour ma part j'en peux plus, je n'ai pas dormi depuis 24 heures environ et il faut que je me requinque ! Si tu veux continuer tout de suite, je comprendrais... de toute façon il faut que je retourne au Central pour prendre ma moto."

Tout en parlant à Malone, les 2 hommes se dirigeaient vers la sortie. McAllen s'arrêta à l'accueil pour prendre un rendez-vous.

"_ Bonjour mademoiselle, votre sourire est tellement charmant que je voudrais revenir la semaine prochaine... James toussa comme un tuberculeux, apparemment c'est pour des test d'efforts... autre toux à s'en décoller la plèvre, mais pour moi ce n'est pas utile. Enfin c'est le royaume des docteurs ici."

Après avoir passé 10 bonnes minutes afin de regarder quel médecin pourrait évaluer les tests la semaine prochaine, l'infirmière donna enfin un rendez-vous à McAllen.

"_ Je vous remercie. Et bien à la semaine prochaine alors ? J'espère que vous serez là ? dit James à l'infirmière derrière le comptoir.

Puis s'adressant à Jack :

"_ Moi aussi je vais prendre le bus pour aller au Central. Par contre je ne sais pas quelle ligne prendre... hé oui je me déplace toujours en moto ! Tu sais si on prend le même ? "

James toussa encore une fois. Il fallait attendre que le mucus s'évacue des bronches pour aller mieux. Après il aura peut-être de légères séquelles.

** Mais si je fais un footing régulier en augmentant progressivement la distance de course, je pourrais peut-êrte récupérer de cette intoxication. **

Dans ses pensées, James n'entendit pas la réponse de Jack :

"_ Heu... excuses moi je n'ai pas écouté... je me demandais si je pourrais récupérer un jour. Tu disais ? "

"_ Notre mission aujourd'hui, retrouver notre chemin... On fait vraiment des supers flics quand même ! "

Puis les 2 hommes franchirent les portes coulissantes de l'entrée de l'hôpital. Etant l'hôpital principal de Seattle, celui-ci était bien déservi. Un arrêt de bus les attendaient à une cinquantaine de mètres...

Salle d'interrogatoire n°6

Je me reveille un beau matin, le soleil me reveilla de mauvaise humeur en projetant ses saleté d'rayons dans les yeux. Après avoir scruter la pièce nerveusement, je découvre à mon grand malheur que je suis dans une salle d'hopital...Oh non, pas encore par pitié ! Et en plus le terroriste m'a echappé, j'espère que mes co-équipier l'ont choppé avant qu'il fasse une promenade de santé en ville...Et mer** ! En bougeant les bras, je remarque aussi que je suis lié à plusieurs fils. Quelle poisse ! Me voilà assis comme un cancereux, dans une salle d'hopital dont la peinture est blanche comme neige comme le bout du tunnel final..Arf ! Ca m'fout des frissons dans l'dos... Je bouffe et boit par des tube, y'a d'quoi devenu chèvre surtout quand un taré t'a défoncé et qu't'as rien pu faire...
Je jette un bref coup d'oeil à l'horloge située en plein devant ma vue et elle m'annonce tristement qu'il est 16 heures 14. Arf...Sommes-nous déjà passé au jour suivant ??
Une infirmière passe dans ma chambre avec un petit carnet tenue par ses jolie p'tits doigts. Je sais pas pourquoi mais les infirmière ont l'air de savoir si je suis reveillé ou pas...Elles debarquent toujours au bon moment, sauf si elles doivent te mettre la piqure...
J'lui demande rapidement quand est-ce que je pourrais sortir de là, elle ne me repond pas dans un premier temps et finit par me dire que je devrais attendre que le medecin vienne, mais que pour sortir aujourd'hui, c'est pas gagné... Chiotte !!

L'infirmière regarda Kesto, avec un air attristé.
Elle quitta la chambre rapidement et revint avec un médecin.
Celui-ci arriva avec un grand sourire :
"Ah, enfin, inspecteur Kesto Gar, vous êtes réveillé. Vous vous souvenez de ce qui s'est passé ?"

Puis sans attendre la réponse de Kesto, il regarda des documents au pied du lit de Kesto.

Kesto ne pouvait pas les voir, car il aurait du se relever sur son lit, mais il était attaché par des sangles !

Le médecin marmonnait :
"Bon un traumatisme cranien, mais rien de bien grave. Il eu de la chance, notre inspecteur, deux centimêtres plus en avant et le coup le tuait.
Il sortira cet après-midi, s'il peut marcher ! Plus vite, il reprendra une vie normale mieux ce sera."

Puis le medecin regarda Kesto et commença à enlever les sangles qui retenaient Kesto prisonnier.

"Comment vous sentez vous ?"

A ce moment-là un homme tenta de rentrer dans la chambre. Il n'était pas membre du personnel médical, mais de la police.

L'infirmière l'arréta, mais il protesta :
"Laissez moi passer. Je suis de l'OPA, je doit informer l'inspecteur Kesto Gar du fait qu'il va devoir s'expliquer à propos de la mort de deux prisonniers et de la tentative d'évasion de l'un d'eux."

Pour plus d'infos sur l'OPA :
http://www.cityofseattle.net/Police/OPA/default.htm

Tout se passait à peu pres bien jusqu'à ce que le Medecin m'annonce un traumastisme crannien. C'était donc ça les maux de tête ! Je comprend mieux maintenant...Mais d'après lui, ce n'est rien de grave...Ecoutons le toubib !
Il veut s'avoir mon état, je lui dis vaguement que je vais bien. J'ai mal au crane et à la joue, mais la plus coriace des blessures c'est celle à la tête.
Un dingue essait de penetrer dans la chambre, il gigotte de partout. Put***, je suis une star ou quoi ? Il suffit que je me reveilles pour que cette saleté d'chambre devienne une salle de réunion... L'infirmière, elle et sa petite carrure, essayait tant bien que mal de lui resistait en formant un barrage, et le medecin reste de glace, il ne bouge pas, on dirait un piquet.
Le barjot se dit de l'OPA et hurle comme un c** en disant que je devrais m'expliquer sur la mort de deux prisonniers...Merde, c'est les otages flics ?? Oh puta*** !!
Je respire un bon coup, ce n'est pas possible, ce coup je le sent pas, ça sent le piege à pleins nez...Peut-etre que je deviens parano, mais ce type là, de l'OPA, c'est un type à qui je dois pas faire confiance...
Je m'adresse au medecin, simulant un mal de tête incroyablement exageré mais qui avait l'air quand même "réelle".

-Docteur...j'ai besoin de me reposer, j'ai terriblement mal à la tête, et le bruit me fatigue encore plus... Auriez-vous l'obligeance de bien vouloir faire sortir cet homme s'il vous plait ?

Je joue le mec faible...C'est bien ! Je me prepare physiquement à plonger par terre au cas où le type serait un tueur ou quelques choses comme ça...Parano-man !


[HRP:]J'ai toujours rien compris sur L'OPA...

Le médecin regarda l'homme de l'OPA d'un air mauvais :
"Allez-vous en ! J'ai un patient à soigner et vous risquez d'aggraver son état."

L'homme de l'OPA sortit sa carte du SPD, sur lequel, tout le monde réussit à lire OPA pour Office of Professional Accountability. En résumé, la police des polices du SPD. Kesto savait que dans le pire des cas, ils pouvaient tout simplement l'empécher d'être dans la police et le faire virer.
Ces gars de l'OPA avaient en plus la réputation d'être totalement déconnectés des réalités. On ne les voyait jamais sur le terrain pour lutter contre le crime, par contre pour faire des reproches à un policier, ils étaient les pires...même les journalistes étaient sympathiques à coté de ces...ordures...

L'infirmière regarda le médecin et poussa l'homme de l'OPA en dehors de la pièce, elle referma ensuite la porte.

Le médecin répéta alors sa question :
"Comment vous sentez-vous ?"

[HRP : C'est plus clair ? Je ne savais pas comment donner du travail aux avocats, alors... ]

Je ne repond pas à sa question, même après que l'agent de l'OPA soit partit.Qu'est-ce qu'ils me veulent au juste ? Je n'ai rien fais de bien grave,j'ai juste menacer un terroriste à la con. Le FBI aurait été plus sevère même ! Enfin, je crois...
Je reste allongé sur mon lit blanc, le medecin est toujours devant moi et je reste pensif, la tête en bas, simulant ce que pourrais devenir mon avenir. Ca me file legerement les chocotte. Mes yeux sont bloqué vers la surface de ma couverture, le silence restant pesant et entraine un petit malaise auprès du toubib et de l'autre infirmière. Après mes blessures et un soirée à l'hopital, voici que les emmerdes commencent, et mon petit doigt me dit que ce n'est que le commencement...
Je relève doucement mon regard vers le medecin et prononce quelques mots qui montré bien mon embarras et que j'avais besoin de reflechir sur certains points.

- Comme je vous l'ai dit docteur : Je vais mal.

C'est le moins que je puisse dire. Les menottes seraient-ils pretes pour moi ? Quand je pense à mon fils...Qu'est ce qu'il va devenir ?
Tout d'un coup, je change d'avis et accepte de rencontrer l'autre bargot.

- Docteur, laissez-moi rentrer l'agent de l'OPA s'il vous plait...Et restez devant la porte si ça ne vous deranges pas trop, on reparlera de mes états de santé plus tard...Merci

[hrp:] Enfluuure !!!

Le médecin eu l'air surpris, puis il acquiessa :
"Comme vous voulez..."

Il n'avait pas l'air convaincu. L'infirmière laissa entrer l'homme de l'OPA.

Celui-ci rentra en râlant :
"Ce n'est pas trop tôt !"

Il s'approcha du lit de Kesto, et se mit à lui parler avec un sourire sadique. Kesto connaissait ce sourire, il avait eu le même quelques heures plus tôt, dans la salle d'interrogatoire.
"Inspecteur Kesto Gar... Je suis venu vous informer que vous allez devoir comparaître devant la commission de discipline dans un mois pour répondre de vos agissements. Vous allez devoir vous expliquer sur la mort de deux prisonniers et la tentative d'évasion de l'un d'eux. La famille du suspect que vous interrogiez a déposé plainte cet après-midi après avoir vu sa photo dans les médias.
Je vous conseille de faire appel à un avocat, et un bon...
Sinon, j'ai demandé à ce que vous soyez immédiatement suspendu de vos fonctions, mais cela a été refusé...vous avez des amis bien placés, mais vous n'échapperez pas à la commission de discipline. Vous avez des questions ?"

[HRP : Oui, je sais, je suis trop bon... ]

Durant tout son petit discours, je me retiens de lui arranger la face à ma manière, quel trou du cul, je lui eclaterai bien la gueule contre la machine posée à droite de mon lit... Il me sort tout un barratin, sur la mort des deux prisonniers...Ah mais attend...LES prisonniers ?? Est-ce qu'il parle de ceux des salles d'interrogatoire ? J'avais pendant longtemps un sourire aux lèvres, mais là, j'dois dire que ça m'a carrement refroidi.
Je le regarde, fixement, avec un regard du genre : " Tu me fais pas peur encu** et j'aimerais bien te niqu** la gueule si j'avais la peche !" Mais aucun de ses mots ne sortirent de ma bouche, mais le regard que je posais sur cet...homme le traduisait très très bien.
A la fin de son discours :

- Ecoute-moi bien p'tit con, si tu penses m'impressionnait en m'balancant des mythos d'ce genre, je suis pret à me lever sur mes deux pied et te mettre une bonne tarte dans la gueule pour que tu vois c'que ça fais que d'être allongé dans un lit d'hopital et pas savoir c'qui s'passe et d'être en même temps irrespecté.Joue pas au marrioles, tes bobards auraient pu faire chier dans son froc plus d'un flic au SPD mais j'm'en tappe, pour moi t'es juste un bonhomme qui frime avec son grade de "supérieur hierarchique"... Un...merdeux.Alors ecoute-moi parce que je vais me repeter cinquante mille fois : J'étais en train de faire mon interrogatoire comme tout flic sérieux et exemplaire, respectant les lois. Ensuite le terroriste, Will il me semble, s'est violament attaqué à moi et je suis tombé dans un p"tit coma de 24 heures. C'est tout ce que je sais, après s'ils sont mort, c'est regrettable mais c'est pas d'ma faute et je n'en savais absolument rien jusqu'à ce que tu m'le dis, ok ?
Et toi, t'as des questions ou tu t'écartes de ma vue ? T'inquietes pas pour moi, j'ai des amis encore mieux placés que tu ne pourrais te l'imaginer !

J'reconnais quand même que j'y étais un peu fort, mais c'était plus fort que moi. En c'moment je ne sais pas c'que j'ai, j'ai comme une poussée de violence, de colère...Faut qu'j'en parles au toubib tout à l'heure...

L'homme de l'OPA eut un sourire encore plus sadique. Visiblment, il avait aimé ce que Kesto venait de lui dire.

"Bien, cela fera quelquechose de plus à mettre dans votre dossier devant la commission de discpline. Quant au sérieux de votre boulot, vous auriez du savoir que l'on n'interroge jamais un prisonnier seul et surtout pas en étant armé. Sinon, il s'évade et ce promène dans le commissariat avec les armes que vous lui avez apporté sur un plateau.
Mais vous discuterez de tout cela avec votre avocat.
Au revoir, inspecteur.... Vous avez choisi de vous lancer dans quelle nouvelle carrière ?"

Ce gars de l'OPA exultait. S'acharmer sur un blessé allongé sur un lit d'hôpital devait vraiment l'amuser.

- Ouais...Boxer !

Je souriai à mon imbécilité et restais allongé tout en le regardant s'en aller. Quelques secondes plus tard, le medecin debarque dans la chambre et on discute un long moment ensemble. On discute de mes états de santé et plus principalement de mes sauts d'humeur, je vois qu'du noir en c'moment. J'lui dis rapidement aussi que j'ai des poussé de violence, que je me fous en rogne trop facilement à mon gout et que je commence à être vulgaire. Un changement total de personnalité, c'est pas bon signe, l'ancien Kesto revient...
Ensuite, le medecin part, à compter sur l'horloge, il y est rester peut-etre bien dix minutes et quelques. C'est trop rapide... Enfin bon, je me rendors un petit peu parce que l'toubib m'a prevenu de r'prendre des forces avant que je puisse sortir. C'est c'que j'fais et m'assoupis pendant trois longues heures.
Lorsque je me reveille, il fait encore jour et je me separe des couvertures parce qu'il fait hyper chaud et que j'en transpire...Une infirmière vient et discute avec moi pour ensuite me laisser sortir de ma chambre en fin de journée. Je signe les papier de décharge et autre paperasses comme si je sortais de taule. Il m'ont tous tout rendu, sauf mon arme...la poisse !
Je sors maintenant de l'hopital, y'a un sacré vent dehors. Je suis partis de la chambre douillette à la ville glacial. De quoi attrappé la crève... J'continue le chemin à pied, jusqu'à où déjà ? Ah oui, le central, en esperant qu'ils m'y ouvriront les portes. Et durant tout le trajet, je reflechis et reflechis encore.

Le Central

Jerry, qui avait eut un accident, était resté dans le coma depuis un long moment. Il était dans une chambre comme les autres, vêtu d'une chemise comme dans tous les hôpitaux. Heureusement il avait une vue sur le parc extérieur. C'était le jour de sa sortie. Il enfila un uniforme qu'un autre policier lui avait apporté, sortit de la chambre et arriva dans le hall où il signa les papiers de sortie.

-*Ah ça fait du bien de sortir un peu...*

Jerry savait que quelqu'un viendrai le chercher, alors il s'asseya sur un banc devant le bâtiment et attendait lorsqu'un agent de police fut amené par ambulance. Apparemment, elle avait le bras cassé d'après les deux infirmiers. Il s'approcha d'elle. Il ne savait pas par où commencer, ni quoi dire.

-"...ça va?" demanda-t-il d'un ton mal assuré.

Pour Carin :

Le service des urgences était débordé, avec cette fusillade.

Un médecin regarda rapidement son bras, puis repartit.

Dix minutes plus tard une infirmière amena Carin dans une chambre au deuxième étage de l'hôpital :
"Restez-ici, vous allez passer une radio, et on avisera. Que vous est il arrivé ?"

[Pour info, personne n'avait remarqué Jerry au milieu de l'agitation de la salle des urgences. ]

-*Bon, voila quoi...*

Jerry se leva, s'avança vers un taxi, pénétra et ordonna au chauffeur d'aller au central de police. Pendant le trajet, il regardait par la fenêtre. La vie extérieure lui manquait, après trois mois dans le coma. Le taxi arriva devant le bâtiment, s'arrêta net. Jerry paya le chauffeur et sortit du véhicule.

[ :/ Désolée Jerry!]

Carin fut emmenée dans une chambre par une infirmiere, après qu'un medecin ait observé rapidement son bras.

*On a le temps de crever ici...*

L'infirmiere lui demanda ce qu'il lui était arrivée, elle répondit d'un ton pas forcément chaleureux, elle avait hâte de sortir d'ici.

" Je me suis fait tirer dessus. Ca va comme explication ?"

L'infirmière la regarda, mais ne répondit pas.

La remarque de Carin lui avait visiblement déplu.

Puis elle partit.

Un demi-heure plus tard, une autre infirmière lui fit passer une radio du bras, et la ramena dans sa chambre.

Le médecin s'y trouvait, il pianotait sur un ordinateur posé sur une table a coté de son lit :

"Mme Taylor. Bon, vous avez une balle dans le bras, exactement à la place de l'os. Il va falloir vous opérer et vous remettre tout cela en place. Je vous opère dans une heure, le temps de tout préparer. Vous avez des antécédents médicaux particuliers ?"

American Flag

McAllen étant dans une des ambulances qui venait du bar, il arriva assez rapidement à l'hôpital malgré les embouteillages.
Il aida les secouristes à conduire les blessés dans les services appropriés. Il prit soin de noté le lieu où il pourrait retourner interroger les suspects, surtout celui de l'homme à la batte de base ball.

** Lui doit bien savoir où se trouve Dereck... on ne lui aurait pas confier le tabassage en règle de nos collègues sinon. **

Puis il s'adressa à l'accueil :

"_ Bonjour, Inspecteur McAllen, dit-il en montrant sa plaque, je voudrais voir Carin Taylor. Elle a été admise ici pour une fracture du bras."

Il laissa la standardiste lui donner la chambre de Carin.

James regarda la liste des blessés...et des morts.

Les victimes n'avaient pas été encore identifiées, mais James constata que tous les terroristes trouvés dans la cave étaient morts.

S'il voulait les interroger, c'était trop tard.

La receptionniste à l'accueil repondit avec un sourire :

"Mme Taylor. Oui, elle a bien été admise ici. Mais vous allez devoir attendre que l'on ait fini de la soigner.
Vous pouvez patientez dans la salle d'attente sur votre droite."

Carin venait de passer une radio de son bras, la douleur était intense, et difficilement supportable, bien que quelques heures plus tôt on lui avait administré des calmans. Elle revint dans sa chambre et se retrouva avec le medecin.

*Mademoiselle Taylor...pas Mme*

" Dans une heure ?! Bon de toute façon je suppose que je n'ai pas le choix..."